




Des soixante films d'Eugène Doyen, une douzaine survivent à la cinémathèque portugaise. Ils sont très rarement projetés (mais ça arrive, par exemple une fois à la cinémathèque québécoise en 2008) et ce pour des raisons évidentes (ces raisons étant qu'il s'agit de films de chirurgie du 19e siècle, super fun).
Saturnome! C'est ça ta réponse à ta question de la semaine dernière!? Moi qui pensais découvrir un bon film d'horreur!
Ne vous inquiétez pas! Mirion Malle s'en occupe sur son blog et j'y fais même un caméo, sapristi de sapristi!
